Inodys

Inodys Fertility booste la fertilité féminine en cas de syndrome des ovaires polykystiques

3x PLUS de grossesses avec la combinaison originale de Myo-DCI Inositol
3x MOINS de fausses couches avec la combinaison originale de Myo-DCI Inositol

 

   Booste la fertilité féminine

   Améliore les cycles menstruels & la qualité de l’ovulation

   Combinaison de Myo-Inositol et de D-Chiro-Inositol brevetée

   Augmenté d’acide folique actif (Quatrefolic®), zinc, glutathion, vitamine D

NATURAMedicatrix sera présent au 37e salon Eshre, le 26 juin - 1er juillet 2021


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Syndrome des ovaires polykystiques, la principale cause d'infertilité et d'anovulation



Le syndrome des ovaires polykystiques (ou Polycystic ovary syndrome  (PCOS)) est un trouble fréquent du métabolisme endocrinien. Comme le nom indique, le PCOS est un syndrome et non une maladie, c’est-à-dire un ensemble de signes et de symptômes sans étiologie spécifique connue et pour laquelle il n’existe pas un test unique pouvant être utilisé pour établir le diagnostic. Le PCOS est l’une des pathologies endocrines les plus fréquentes chez les femmes en âge de procréer et c’est la principale cause de stérilité et d’anovulation. Elle touche jusqu’à 10 % de ces femmes chez qui l’hyperandrogénisme, les kystes hypertrophiés au niveau des ovaires et l’anovulation chronique coexistent souvent en étroite relation avec d’autres syndromes (obésité, hypertension, dyslipidémie et altérations du métabolisme du glucose), ce qui en fait une menace sérieuse pour la santé publique. Les femmes atteintes du PCOS ont souvent un indice de masse corporelle (IMC plus élevé) que la population générale et il a été démontré que la réduction du poids améliore la résistance à l’insuline et donc des symptômes du PCOS1. Les conséquences à long terme du PCOS sont notamment les maladies cardiovasculaires (MCV), le diabète sucré de type II (DS2), l’apnée du sommeil, les complications psychologiques et une faible estime de soi ainsi que des complications touchant la fertilité, la reproduction et la grossesse2. Le PCOS lui-même comptabilise 19 à 28% de DS2 chez les femmes en âge de procréer3.

LA PATHOGENÈSE ET L’ÉTIOLOGIE


La physiopathologie du PCOS est complexe (figure  1), son étiologie restant floue mais est probablement génétique, étant influencée plus tard par des facteurs environnementaux tels que la nutrition, le mode de vie ou l’obésité. La résistance à l’insuline (RI) et l’hyperinsulinémie compensatoire sont connues pour être des composantes clés du syndrome, qui touche 75 % des personnes maigres atteintes du PCOS et 95 % des personnes obèses1,4. Le degré de RI vécu par les femmes souffrant de PCOS s’est également révélé supérieur à ce qui serait attendu compte tenu de leur IMC1.
La RI affecte à la fois l’hyperandrogénie et l’ovulation en agissant sur l’hypophyse et les ovaires, en arrêtant le développement folliculaire et en augmentant la production d’androgènes5,6. En outre, l’insuline inhibe la production de la globuline hépatique liant les hormones sexuelles (SHBG) au niveau du foie, ce qui contribue à la concentration sérique plus élevée d’androgènes libres couramment observée dans le PCOS7. La diminution de la RI par la perte de poids, les interventions sur le mode de vie ou grâce à des agents sensibilisateurs à l’insuline, améliore les caractéristiques cliniques du PCOS, tandis que l’excès de poids aggrave la RI ainsi que la gravité des symptômes1.

LES MANIFESTATIONS CLINIQUES


Les manifestations cliniques de ce syndrome sont polymorphes et varient en fonction de l’âge et des caractéristiques de chaque patiente. Dans cette gamme de présentations, on peut trouver :

  • L’hyperandrogénisme, une des principales caractéristiques du PCOS, consiste en un excès d’androgènes dans le sang (hyperandrogénisme) et à l’exacerbation de ses effets dans tout l’organisme.
  • L’hirsutisme une présence excessive de poils dans les zones dépendantes des androgènes, où les femmes ne présentent généralement pas de poils, se retrouve chez environ 70 % des patientes atteintes du PCOS8.
  • Altérations menstruelles caractérisées par des schémas d’oligoménorrhée ou d’aménorrhée secondaire due à l’absence d’ovulation. L’apparition de ces symptômes se produit généralement au cours de la période de pré-puberté, proche de l’âge des premières menstruations. Chez 70 % des patients, les schémas de l’oligoménorrhée avec saignements à intervalles de plus de 45 jours ou des périodes de menstruation de moins de neuf fois par an, alternées avec des intervalles d’aménorrhée secondaire (absence de menstruation pendant au moins 3 mois consécutifs)9. L’absence d’ovulation ou dysovulation implique une altération de la fertilité, présente chez 30-70% des patientes, ce qui implique une période plus longue pour parvenir à une grossesse.
  • Modifications des ovaires. Les ovaires des patientes atteintes de PCOS présentent un aspect spécifique, avec de multiples petits follicules préantaux et antaux localisés en périphérie, avec une augmentation du volume stromal. Au niveau histologique, il y a un épaississement et une sclérose du cortex ovarien qui lui donne son aspect caractéristique.
  • L’obésité est présente chez environ 35-50% des patientes atteintes du PCOS10,11, cependant la prévalence varie selon la population étudiée, ce qui est probablement lié à des facteurs génétiques, au mode de vie et à l’alimentation. La présence de l’obésité elle-même est associée à des altérations du cycle menstruel12,13. Chez les patientes obèses atteintes du PCOS, les altérations menstruelles sont plus importantes que chez les patientes de corpulence mince atteintes du PCOS13.
  • L’hyperinsulinémie et l’insulinorésistance sont plus fréquentes chez les patientes atteintes du PCOS, qu’elles soient obèses ou minces, mais l’insulinorésistance est aggravée par la présence de l’obésité14,15. Le risque de diabète sucré de type 2 est plus important chez les patientes atteintes de PCOS, surtout chez les patientes ayant des antécédents familiaux de diabète de type 2 au premier degré16,17. Les patientes atteintes du PCOS présentent une prévalence accrue au syndrome métabolique34,35,36.
  • Les autres symptômes cliniques sont l’hyperprolactinémie, l’hyperplasie et le carcinome de l’endomètre, l’acné et l’alopécie.

PATHOLOGIE OBSTÉTRIQUE


Le risque de complications pendant la grossesse est accru pour ces femmes. Le taux de fausses couches est de 20 à 40 % plus élevé que chez les autres femmes21. Les femmes atteintes du PCOS présentent également un risque plus élevé de troubles hypertensifs de la grossesse, de prééclampsie, de diabète gestationnel, de macrosomie fœtale, de retard de croissance intra-utérin, de naissance prématurée et de besoin d’être admises dans des unités de soins intensifs néonatals22.

Table 3. Critères de diagnostiques du syndrome des ovaires polykystiques
NIH/NICHD-1990 ESHRE/ ASRM Rotterdam 2003 AE-PCOS Society 2006
Exclusion des autres troubles qui provoquent une sécrétion excessive d’androgènes Exclusion des autres troubles qui provoquent une sécrétion excessive d’androgènes Exclusion des autres troubles qui provoquent une sécrétion excessive d’androgènes
Hyperandrogénisme clinique et/ou biochimie Hyperandrogénisme clinique et/ou biochimie Hyperandrogénisme clinique et/ou biochimie
Altérations menstruelles

(Les deux critères sont nécéssaires)

Oligo- ovulation ou anovulation
Ultrasons : ovaires polykystiques

(Deux des trois critères sont nécéssaires)

Dysfonction-nement ovarien
Ultrason : ovaires polykystiques
(Les deux critères sont nécéssaires)

Selon le PCOS Consensus Workshop Group 2003, parrainé par l’ESHRE/ASRM de Rotterdam, un accord sur les critères de diagnostic et les risques sanitaires à long terme liés au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Hum-Reprod. 2004;19:41-7.

OPTIONS DE TRAITEMENT


Alors que le traitement classique de l’infertilité dans le PCOS, pendant longtemps, était basé sur le Myo-Inositol, les traitements modernes ont le potentiel d’améliorer tous les symptômes, signes et anomalies de laboratoires du PCOS. Ils devraient être capables de corriger l’insulinorésistance systémique en traitant les caractéristiques métaboliques du PCOS. Simultanément, ils créeront un milieu intra-ovarien sain, qui corrigera l’hyperandrogénisme, améliorera la régularité des menstruations et favorisera l’ovulation ainsi que la fertilité.
La première étape d’un traitement consiste souvent à perdre du poids, principalement pour les patients obèses ou en surpoids. Une perte de poids de 2 à 5 % peut améliorer l’hyperinsulinémie ainsi que l’hyperandrogénisme23,24,25 qui, à leur tour, améliorent le niveau métabolique et sont également liés à l’augmentation des taux de récupération de l’ovulation et de grossesse26,27.
Plus de 50% des patientes atteintes du PCOS présentent une résistance à l’insuline et une insulinémie qui justifie l’utilisation de sensibilisateurs à l’insuline afin d’augmenter la sensibilité cellulaire à l’insuline, d’améliorer les fonctions endocriniennes et de rétablir le cycle de production des follicules et l’ovulation. Le traitement classique pour diminuer la résistance à l’insuline est la metformine qui est recommandée chez les patients souffrant d’intolérance au glucose ou de diabète de type 2 et dans les cas de thérapie au citrate de clomifène qui échoue souvent chez les patientes atteintes du PCOS.

L’INOSITOL COMME LE NOUVEAU TRAITEMENT CONTRE LE PCOS


Les isomères de l’inositol sont un groupe d’agents sensibilisateurs à l’insuline dérivés de la vitamine B8. Ces substances sont naturellement présentes dans les membranes cellulaires et existent en neuf isomères, le Myo-Inositol (MYO) et le D-Chiro-Inositol (DCI) étant les plus fréquents. Parmi de nombreuses autres fonctions, l’inositol facilite la métabolisation des graisses dans le foie et contribue au bon fonctionnement des muscles et du système nerveux.
MYO est l’inositol le plus abondant chez l’être humain et se transforme naturellement en DCI. Le rôle de ces deux substances ainsi que celui des ingrédients individuels combinés est bien étudié en ce qui concerne le PCOS.

Les inositols et l’hyperinsulinémie

MYO et DCI agissent en augmentant la sensibilité de la cellule à l’insuline, en activant les enzymes qui contrôlent le métabolisme du glucose. Chez les patientes atteintes de PCOS et d’insulinorésistance, un défaut de biodisponibilité tissulaire ou de métabolisme de l’inositol peut favoriser le maintien de cette résistance à l’insuline. L’administration d’inositols chez les patientes atteintes du PCOS entraîne une sensibilité accrue à l’insuline au niveau cellulaire, ce qui se traduit par une amélioration de la fonction ovulatoire et de l’hyperandrogénisme.

Les inositols dans le traitement de la fertilité du PCOS

La supplémentation en MYO chez les patientes atteintes du PCOS, améliore les niveaux de prolactine (PRL), de testostérone, de LH et d’insuline. Il produit également une variation du rapport FSH/LH, améliore la résistance à l’insuline et rétablit les cycles chez les patientes aménorrhéiques28. Il a été démontré que le MYO et le DCI améliorent tous deux les facteurs métaboliques chez les femmes atteintes du PCOS, en réduisant l’insulinorésistance, en améliorant la fonction ovarienne et en réduisant les niveaux d’androgène.
Il a été démontré que la supplémentation en MYO améliore la qualité des ovocytes et des embryons chez les patientes traitées par fécondation in vitro (FIV). Elle a également permis de réduire les besoins en FSH recombiné et le nombre de cycles annulés29,30. Les doses efficaces de MYO atteignent jusqu’à 4g/jour, comme l’ont démontrés divers essais cliniques31,32,33,34.
La supplémentation en DCI chez les patientes atteintes de PCOS semble améliorer les niveaux de progestérone de 35%, augmenter le taux d’ovulation de 3 fois par rapport à un placebo35 et réguler les cycles chez 64% des patientes après six cycles de DCI36. Les suppléments de DCI réduisent les niveaux de LH de 55 % et améliorent le rapport FSH/LH de 44 % chez les patientes atteintes du PCOS. Ils semblent également réduire le stress oxydant dans les follicules ovariens.

Chez les patientes atteintes de diabète sucré de type 2, le ratio l’DCI/ MYO et la synthèse du DCI sont inférieurs en raison de la moindre activité de l’épimérase convertissant le MYO en DCI, sauf dans l’ovaire où les cellules ne développent pas de résistance à l’insuline. En conséquence, on observe une augmentation de l’épimérisation de MYO en DCI. Ce phénomène a été décrit comme le «paradoxe du DCI37». Les grandes concentrations intra-ovariennes du DCI semblent être négatives et affectent la qualité des ovocytes38. La supplémentation en DCI a également entraîné une diminution de 12 % de l’hirsutisme, mesurée en utilisant l’échelle de Ferriman-Gallwey.
En ce qui concerne le profil glycémique, le DCI diminue l’hyper-insulinémie en abaissant les niveaux dans le sang et améliore la résistance de 48%35. Elle semble améliorer la sensibilité des cellules à l’insuline de 71% et le rapport glucose/insuline de 43%39.
En améliorant la sensibilité cellulaire au glucose, on obtient une diminution du risque cardiovasculaire, ainsi qu’une diminution du cholestérol total de 27 % par rapport à un placebo et une réduction des triglycérides de 41 %38. En comparant l’action des suppléments MYO avec le DCI chez les patients soumis à une FIV, les suppléments MYO semblent être plus efficaces40.

Combinaisons MYO-DCI

Selon les essais cliniques, le traitement combiné à l’inositol (MYO et DCI) a le potentiel d’améliorer tous les symptômes, signes et anomalies de laboratoire du PCOS. Les deux inositols, prescrits ensemble, devraient pouvoir améliorer les concentrations d’inositol requises à la fois dans la circulation systémique et dans l’ovaire, ce qui permettrait de résoudre le paradoxe de l’inositol ovarien. La correction de la résistance à l’insuline systémique via le MYO permettra de traiter les caractéristiques métaboliques du PCOS. Simultanément, des niveaux adéquats de DCI créeront un milieu intra-ovarien sain, qui corrigera l’hyperandrogénisme, améliorera la régularité menstruelle et favorisera l’ovulation et la fertilité.
Des études récentes ont en effet confirmé la supériorité de l’utilisation combinée de MYO et de DCI plutôt que de MYO seul pour le traitement du PCOS41,42,43. Ces études proposent une très faible proportion de DCI, avec un rapport de 40:1, sur la base de la proportion trouvée dans le corps humain.
Toutefois, dans un article de synthèse de Barthi Kalra paru dans Indian Journal of Endocrinology44, elle a fait remarquer que les preuves actuelles sont encore insuffisantes pour fournir une réponse définitive concernant le ratio optimal MYO/DCI. Alors que le MYO est nécessaire pour la gestion métabolique, le DCI est tout aussi important pour la résolution des problèmes menstruels, ovulatoires et d’hyper-androgénie cutanée. Par conséquent, le ratio peut être moins important que le ratio absolu des concentrations des deux inositols. Il est donc clair qu’une forte concentration de DCI est nécessaire pour contourner le déficit en épimérase et assurer des niveaux adéquats dans l’ovaire. La plupart des produits pharmaceutiques actuels fournissent des préparations de très faibles quantités de DCI, qui sont insuffisantes pour atteindre des niveaux adéquats dans l’ovaire. Par conséquent, les formulations avec des niveaux relativement plus élevés de DCI sont préférables. En 2019, très récemment, une nouvelle étude a été rapportée en utilisant un ratio de 3,6:1. Cependant, le plus important est la concentration absolue qui est utilisée dans cet essai (300 mg de DCI)45.

INODYS FERTILITY, UNE COMBINAISON INNOVANTE D’INOSITOL


Une approche globale naturelle pour les femmes souffrant de PCOS, «INODYS FERTILITY» est une nouvelle combinaison de MYO et de DCI élevés. Selon les experts, ce sont les concentrations absolues de MYO et de DCI qui sont plus importantes plutôt que le rapport physiologique. La dose réelle suggérée de 40:1 n’est pas suffisante pour tirer le maximum de bénéfices de l’utilisation des inositols pour améliorer la fertilité des femmes souffrant de PCOS.
« INODYS FERTILITY » contient 1.100 mg de MYO et 300 mg de DCI, et est exprimé par un ratio de 3,6 :1.
Il en résulte une forte augmentation du nombre de grossesses dans un essai clinique comparatif entre ces ratios45:

Cela démontre clairement la supériorité du rapport 3,6:1 en comparaison au rapport physiologique de 40:1, en estimant que le rapport 3,6:1 est le traitement le plus avancé contre l’infertilité du PCOS.

Composition de “INODYS FERTILITY”
2 comprimés Composants
1.100 mg
300 mg
CARONOSITOL
– Myo-inositol
– D-Chiro Inositol Myo-inositol
20 mg Glutathion
7,5 mg Zinc
200 µg Vitamine B9 active – Quatrefolic®
5 µg Vitamine D3

Boîte de 60 comprimés.

AUTRES COMPOSANTS


QUATREFOLIC®

Quatrefolic® est le sel de glucosamine du (6S)-5-méthyltétrahydrofolate et est structurellement analogue à la forme réduite et active de l’acide folique. Quatrefolic® contourne donc complètement l’étape limitante de conversion par le MTHFR (susceptible d’être muté) et délivre un folate «fini» que le corps peut immédiatement utiliser sans aucune forme de métabolisation. De nombreuses études ont montré une synergie entre l’inositol et l’acide folique dans les PCOS (Raffone et al, 2010).

VITAMINE D DANS LE PCOS

La vitamine D est la plus essentielle dans le PCOS. La vitamine D agit dans l’organisme comme une hormone et possède des récepteurs dans presque tous les organes. Il a été démontré que la vitamine D joue un rôle dans la qualité des ovules, leur développement et la fertilité en général.

LE GLUTATHION

Le produit INODYS FERTILITY contient du glutathion pour une meilleure efficacité. Celui-ci est l’un des plus grands antioxydants de l’organisme, protégeant les cellules contre l’attaque par les radicaux libres.

ZINC

Le zinc contribue à une fertilité et une reproduction normales. Inodys Fertlity contient du zinc sous forme de bisglycinate qui présente une biodisponibilité nettement supérieure à celle des autres formes de zinc.



LITTERATURE


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